Un petit tour avec P'tit Luc, loin des sentiers balisés de la crétinerie ordinaire.
mardi 29 septembre 2015
Le retour de la Grande Glose
Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir grandi dans un milieu populaire, où l'on cultive une certaine méfiance envers tous ces gens qui glosent et causent, parce qu'on attend le moment - qui ne manquera pas d'arriver - où ils finissent par vous retourner un bon coup de bâton sur la gueule en vous disant que ça ne fait pas mal du tout, de toutes façons vous avez le cuir solide, arrêtez d'essayer de les apitoyer avec vos larmes de crocodile, mais en ce moment, je l'avoue, certains blablas sur le féminisme me fatiguent.
Surtout s'ils émanent de femmes qui ont largement répandu une image frelatée des femmes, de préférence l'archétype de la jeune bourgeoise gâtée et épanouie dans un travail créatif et intelligent.
Leurs mères nous ont déjà bien concassé les nerfs dans les années 70, avec leur bonne conscience de femmes évoluées, nous avons maintenant droit aux filles, qui véhiculent ce même archétype, un peu renouvelé pour l'occasion, qui décourage toutes les femmes/filles qui n'appartiennent pas à la caste choyée et se morfondent parfois dans des vies un peu banales un peu médiocres un peu nazes, dans lesquelles elles n'ont pas accès aux opportunités que ces jeunes femmes considèrent comme basiques.
Que fatiguent tous les discours, d'où qu'ils viennent.
lundi 21 septembre 2015
La sociologie, ça sert à rien !
Paul Léautaud a passé sa vie à regretter d'être un rêveur inapte à tout autre chose qu'à tenir son Journal et à nourrir ses chats avec des croûtes.
Je pense souvent à lui lorsque je me reproche de n'être qu'une insatisfaite qui se pose trop de questions. Et puis un jour, dans un kiosque, je tombe sur ça et je me sens moins seule.
Je suis en train de le lire, c'est totalement accessible, alors si vous avez un peu de sous (9,50 euros, tout de même !) ou une bibliothèque pas trop loin de chez vous...
Je pense souvent à lui lorsque je me reproche de n'être qu'une insatisfaite qui se pose trop de questions. Et puis un jour, dans un kiosque, je tombe sur ça et je me sens moins seule.
Je suis en train de le lire, c'est totalement accessible, alors si vous avez un peu de sous (9,50 euros, tout de même !) ou une bibliothèque pas trop loin de chez vous...
vendredi 18 septembre 2015
Mauvais esprit
Vous l'avez vue, la pub d'Erik Orsenna pour inciter les détenteurs de patrimoine à faire un legs à l'Unicef pour que les pauvres petits nenfants puissent aller à l'école ?
C'est le côté éducation qui permet de trouver un « bon travail » qui me hérisse un peu le poil, je dois dire.
Au passage, ces temps-ci, on oublie un peu que l'éducation peut aussi apporter un tas de trucs qui ne servent à rien du tout, voire qui iraient un tantisoit à l'encontre de la volonté farouche de faire de nous de bons travailleurs bien dressés.
Mais c'est sans doute un détail.
Non, moi, ce qui me fait vraiment halluciner c'est ce que ce genre d'appel à la générosité propose en filigrane : on ne va rien changer du tout, il y aura encore des pauvres et des boulots dégueu et sous-payés, juste, toi qui as les moyens de t'acheter une bonne conscience, vas-y, fais péter le chèque.
En plus, je ne veux pas lui faire de peine, à ce grand tendre au regard si bleu, mais l'éducation, de nos jours, n'est même plus tout à fait une garantie que tu vas trouver un « bon travail ».
Bien sûr que je suis pour l'éducation de tous les enfants et contre l'exploitation de l'homme par l'homme, n'allez pas vous méprendre.
On pourrait même commencer par notre si beau pays, dans lequel les masses laborieuses bénéficient d'une éducation depuis quelque temps déjà, sans que, globalement, ça change grand-chose : c'est à peu près les mêmes qui se tapent les boulots de merde.
C'est le côté éducation qui permet de trouver un « bon travail » qui me hérisse un peu le poil, je dois dire.
Au passage, ces temps-ci, on oublie un peu que l'éducation peut aussi apporter un tas de trucs qui ne servent à rien du tout, voire qui iraient un tantisoit à l'encontre de la volonté farouche de faire de nous de bons travailleurs bien dressés.
Mais c'est sans doute un détail.
Non, moi, ce qui me fait vraiment halluciner c'est ce que ce genre d'appel à la générosité propose en filigrane : on ne va rien changer du tout, il y aura encore des pauvres et des boulots dégueu et sous-payés, juste, toi qui as les moyens de t'acheter une bonne conscience, vas-y, fais péter le chèque.
En plus, je ne veux pas lui faire de peine, à ce grand tendre au regard si bleu, mais l'éducation, de nos jours, n'est même plus tout à fait une garantie que tu vas trouver un « bon travail ».
Bien sûr que je suis pour l'éducation de tous les enfants et contre l'exploitation de l'homme par l'homme, n'allez pas vous méprendre.
On pourrait même commencer par notre si beau pays, dans lequel les masses laborieuses bénéficient d'une éducation depuis quelque temps déjà, sans que, globalement, ça change grand-chose : c'est à peu près les mêmes qui se tapent les boulots de merde.
mercredi 9 septembre 2015
Salauds de pauvres !
Qui sont les gentrificateurs ?
Une émission de radio pour faire le point sur quelques termes qu'on utilise parfois à tort et à travers (banlieue, mixité sociale...).
Une émission de radio pour faire le point sur quelques termes qu'on utilise parfois à tort et à travers (banlieue, mixité sociale...).
mardi 8 septembre 2015
Le saviez-vous ?
Dans un monde totalement gratuit et ouvert, on travaille bien sûr pour des clopinettes.
Enfin, du moins si l'on exerce une profession aussi peu monnayable que traducteur ou journaliste : la preuve.
C'est la fête, c'est la fête !
Demain on rase gratis, et après-demain, on distribue les organes de nos enfants !
Enfin, du moins si l'on exerce une profession aussi peu monnayable que traducteur ou journaliste : la preuve.
C'est la fête, c'est la fête !
Demain on rase gratis, et après-demain, on distribue les organes de nos enfants !
vendredi 28 août 2015
Spinoza et le retour de la croissance
Une vidéo sur le libre arbitre, le travail, le piège à cons, etc.
Je suis en train de regarder toutes les vidéos de la série, ça me repose un peu de la bouillie ambiante.
Je suis en train de regarder toutes les vidéos de la série, ça me repose un peu de la bouillie ambiante.
mercredi 26 août 2015
Youpi, c'est la rentrée !
J'avais eu un peu de mal à décoller de mon lit, j'avais pris ma douche et presque réussi à me donner une allure présentable, je me préparais à éteindre la radio pour passer à la seconde partie de mon marathon matinal lorsque je fus stoppée net dans mon élan par ça.
Et plus particulièrement par ce qui se dit aux alentours de la quatrième minute.
J'ai éteint la radio, j'ai pris mon petit déjeuner et je suis partie travailler.
mardi 28 juillet 2015
Un peu de vert et de terre sous les ongles (3)
Rayon jardinage de la bibliothèque, section balcons et terrasses.
De façon assez surprenante, toutes les idées proposées, où le discret côtoie le bon goût façon Madame Figaro, coûtent trois SMIC et des lingots et aucune ne semble avoir été réalisée sur la terrasse banale d'un banal appartement.
Pourtant, pas mal de gens vivent dans des environnements banals, urbains, loin des quartiers et des images censément magnifiques qu'on nous colle constamment sous le nez tels des repoussoirs de nos propres vies.
Les balcons des appartements sur lequel donne le mien, par exemple, sont effectivement très loin des belles images en couleurs de ces livres ; certains servent à stocker les congélateurs, à faire sécher le linge (faire sécher le linge, non mais, quelle horreur !). Les plantes et les fleurs qui éclaboussent les façades n'inspirent pas les photographes et aucun livre ne sera jamais écrit pour vous prier de vous inspirer de leur beauté pour repenser la conception de votre balcon.
C'est assez foutraque, je reconnais, et certains jours, je trouve même ça bordélique et incohérent, attentatoire à l'esthétique, pour tout dire. Mais ça me ferait tout drôle si tout cela disparaissait sous les coups de boutoir de la brigade du bon goût distingué.
Un peu de vocabulaire
Tâcheron, onne n. 1. Petit entrepreneur, ouvrier qui travaille à la tâche. 2. Péjor. Personne qui exécute une tâche ingrate et sans éclat. (Le Petit Larousse illustré)
Je ne connaissais pas du tout ce statut très particulier, décrit dans un texte saisissant que je vous invite à lire.
Ça se passe dans le milieu de la transformation de la viande, comme ça on reste dans l'actualité.
mardi 21 juillet 2015
Parce que c'est encore meilleur de donner son avis quand on ne vous a rien demandé
Je ne sais pas vous, mais moi, je trouverais pour le moins singulier que l'État (autant dire nous, qui payons nos impôts et votons gentiment quand on nous le demande) mette en place une subvention destinée à maintenir en place un système qui appauvrit ceux qui en sont les chevilles ouvrières, condamne de pauvres bêtes à l'enfer concentrationnaire et nous autres à bouffer de la merde. #Les éleveurs et la FNSEA
mercredi 8 juillet 2015
Comment ça, il est pas frais, mon poisson ?
Chopée au vol ce matin, en me brossant les dents, cette expression : « la compétition sociale. » Cela m'a laissée songeuse un moment. La question du jour, qui suscitait maints blablas autorisés, était de savoir si les surdoués (c'est l'été, le sujet est à la mode comme les régimes pour enfiler le maillot dans lequel vous aurez l'air ridicule/ringard/d'un perdant si vous n'avez pas seize ans et la gracilité d'un porte-manteau) si les surdoués, donc, étaient heureux, entendez sortaient gagnants de cette fameuse compétition sociale.
Ordoncques, il existe une foire d'empoigne, dont il importe de sortir gagnant.
Jusqu'ici, je croyais bêtement qu'on vivait dans une société humaine avec des maximes drôlement merveilleuses pour lesquelles, même, on était réputés, nous autres, Français fiers de l'être, dans le monde entier, d'où les opprimées et les humiliés nous lançaient des regards pleins d'espoir.
J'ai fini de me brosser les dents, ajusté mes cheveux autour de mon front perplexe et je suis partie accomplir mon labeur quotidien.
Au cours de mes pérégrinations citadines, je me suis retrouvée dans les toilettes de la bibliothèque (comme tout nomade, j'ai mes points d'eau et mes haltes).
Un panonceau recommandait aux usagers des lieux de ne pas se comporter comme des gorets, dans l'intérêt de tous, y compris, cela va de soi, des personnes dont le travail consiste à maintenir lesdits lieux dans un état correct.
Sous le panonceau, il y avait cette citation et je n'ai pas pu me retenir de la noter :
« ... Il est juste, en général, que les hommes aient des égards les uns pour les autres, non seulement dans les choses qui peuvent leur rendre la société plus utile mais aussi dans celles qui peuvent la leur rendre plus agréable. » Montesquieu, Pensées, 1787
vendredi 3 juillet 2015
Interlude again
Cette histoire de GPA, ça me turlupine vraiment.
Je suis comme tout le monde (ou presque) pour un monde meilleur, tendance hippie, j'avoue.
Pourtant, l'idée que des humains paient une somme astronomique pour louer le ventre d'autres humains (ces derniers souvent réduits à la misère, c'est rarement dans les classes dirigeantes qu'on note le plus fort taux de volontaires au prêt d'utérus) me révulse profondément.
Surtout si les premiers (les loueurs de ventres, donc) nous la jouent fleufleurs et compassion intergalactique pour nous vendre leur salade.
Au cas où vous ne le sauriez pas, un avocat auprès de la Cour de cassation coûte 5 000 euros au bas mot.
Nous nous trouvons donc confrontés à des gens qui n'hésitent pas à louer le corps d'un humain pauvre puis à prendre un bon avocat, tout ça avec un paquet de pognon à la clé.
Le droit fourmille de subtilités que des personnes souvent dénuées du moindre sens moral s'échinent à faire valoir pour défendre les pires saloperies et après tout le monde te sert la scie que tout accusé a droit à une défense, on n'est pas des barbares et tu n'avais qu'à te lancer dans le crime au lieu de t'en tenir au vol de Mobylette, espèce de crevard.
Bref, encore une fois, le pauvre con de base n'a qu'à fermer sa grande gueule, s'il ne veut pas se voir traité de Christine Boutin, la honte totale !
lundi 22 juin 2015
Interlude
Je rumine depuis que j'ai entendu
ce matin une énième journaliste traiter de vilain jaloux un brave
retraité qui expliquait qu'il avait du mal avec les politiques qui
prônaient le serrage de ceinture pour les autres sans jamais se
l'appliquer à eux-mêmes. Ce genre de comportement avait l'heur de
l'éloigner de la classe politique et de l'urne le jour du vote.
La journaliste a pris un ton docte et pédagogique pour expliquer à ce pauvre homme qu'il n'avait rien compris, que c'était normal que les élites aient un statut enviable, que le peuple aurait tendance à trouver ça naze sinon.
Imaginons ensemble une scène de la vie de tous les jours : un gros méchant à grande gueule vous colle un bon coup de pied dans le derrière. Il insiste et persiste, le monde est une jungle et il entend bien en être le super prédateur.
La journaliste a pris un ton docte et pédagogique pour expliquer à ce pauvre homme qu'il n'avait rien compris, que c'était normal que les élites aient un statut enviable, que le peuple aurait tendance à trouver ça naze sinon.
Vous avez deux options : soit vous la fermez (gros costaud grande gueule, avouez que ça découragerait n'importe qui). Soit vous ne pouvez vous retenir et vous glapissez votre déconvenue et votre douleur, allant même jusqu'à demander haut et fort si par hasard, dans un monde civilisé, il n'y aurait pas moyen de faire quelque chose pour empêcher les grosses brutes d'abuser ainsi de leurs muscles.
Vous devriez tout de même y réfléchir à deux fois avant de manifester votre désaccord, ils sont assez nombreux ces jours-ci ceux qui taxent de jalousie (un nouveau concept, que l'on retrouve à toutes les sauces) les malappris qui ont l'outrecuidance de signifier leur refus de se laisser transformer en sous-citoyen dans un monde confisqué par les médiocres au service de leur petite rente.
samedi 13 juin 2015
jeudi 11 juin 2015
De bon matin
Je n'écoute plus France Inter le matin pour m'injecter ma dose de nouvelles du monde.
Du coup, ce matin, dans ma salle de bains, j'ai carrément éteint la radio après avoir pesté un moment en entendant sur France Culture les péroraisons autour de l'information suivante : un enfant sur cinq vit sous le seuil de pauvreté en France.
Ça causait parentalité et rôle du père, présence ou non de l'enfant dans l'espace public (il paraît qu'en Suède, les yuppies déjeunent avec leurs bébés dans les restaurants, c'est quand même plus moderne), « pauvres gosses », GPA et autres sujets de société.
Il me semble qu'une mère seule avec un salaire décent ne se retrouvera pas sous le seuil de pauvreté, mais je peux me tromper.
Pourtant, pas un seul moment ces puissants exégètes n'ont évoqué le fait que la pauvreté n'est pas une maladie transmissible ou génétique, mais un phénomène social, qui ne résulte pas seulement de l'abandon des pères, mais aussi de basses, sordides et pas cool du tout questions matérielles, avec de gros morceaux de salaire dedans.
Un petit article avec plein de chiffres qui m'amène à me poser pas mal de questions, que personne ne se pose apparemment dans les milieux où l'on pense et où l'on cause.
PS : Vous avez remarqué qu'en France on voit de plus en plus souvent des majuscules au nom de mois et de jour, à l'anglaise ?
PS : Vous avez remarqué qu'en France on voit de plus en plus souvent des majuscules au nom de mois et de jour, à l'anglaise ?
dimanche 17 mai 2015
lundi 11 mai 2015
Rigolationnons un peu
Le web est parcouru d'une vague d'indignation, parce qu'un concours débile a été organisé par Biba et un de ses partenaires.
En gros, il est proposé à des illustrateurs de concourir pour illustrer je ne sais plus quelle brillante opération de com'.
Bien sûr, cela va de soi, le gagnant sera payé en bons d'achat et en publicité.
C'est le proprio et l'épicier de cet heureux mortel qui vont être contents d'apprendre que nous vivons désormais dans un monde gratuit ou presque.
Si on veut les convaincre d'accepter d'être rétribués en bons d'achat et en bonne renommée, il va falloir mettre de bons communicants sur le coup !
Pas sûr qu'on les trouve chez Biba, tiens, en passant...
En effet, en parcourant les divers développements de l'affaire, je suis tombée là-dessus :
« Non loin d’être un marchand de main-d’œuvre gratuite, nous souhaitons être un vrai tremplin pour les créateurs de demain. »
Ça figure dans la réponse de Biba (allez vite vous régaler avant que ça ne disparaisse de leur site).
Dans mon français à moi, qui n'est pas loin tout de même d'être le français encore causé par la plupart, « non loin » est équivalent - ou pas loin - de « pas loin », ce qui donne ça :
« Pas loin d’être un marchand de main-d’œuvre gratuite, nous souhaitons être un vrai tremplin pour les créateurs de demain. »
Biba avoue donc publiquement être un marchand de main-d’œuvre gratuite.
C'est idiot de payer des gens aussi cher pour qu'ils communiquent aussi mal.
Le monde serait mal fait qu'on ne s'étonnerait qu'à moitié.
En gros, il est proposé à des illustrateurs de concourir pour illustrer je ne sais plus quelle brillante opération de com'.
Bien sûr, cela va de soi, le gagnant sera payé en bons d'achat et en publicité.
C'est le proprio et l'épicier de cet heureux mortel qui vont être contents d'apprendre que nous vivons désormais dans un monde gratuit ou presque.
Si on veut les convaincre d'accepter d'être rétribués en bons d'achat et en bonne renommée, il va falloir mettre de bons communicants sur le coup !
Pas sûr qu'on les trouve chez Biba, tiens, en passant...
En effet, en parcourant les divers développements de l'affaire, je suis tombée là-dessus :
« Non loin d’être un marchand de main-d’œuvre gratuite, nous souhaitons être un vrai tremplin pour les créateurs de demain. »
Ça figure dans la réponse de Biba (allez vite vous régaler avant que ça ne disparaisse de leur site).
Dans mon français à moi, qui n'est pas loin tout de même d'être le français encore causé par la plupart, « non loin » est équivalent - ou pas loin - de « pas loin », ce qui donne ça :
« Pas loin d’être un marchand de main-d’œuvre gratuite, nous souhaitons être un vrai tremplin pour les créateurs de demain. »
Biba avoue donc publiquement être un marchand de main-d’œuvre gratuite.
C'est idiot de payer des gens aussi cher pour qu'ils communiquent aussi mal.
Le monde serait mal fait qu'on ne s'étonnerait qu'à moitié.
dimanche 10 mai 2015
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