lundi 28 mars 2011

Vous allez nous lâcher, oui ?

Dans le bus le matin, pas de place, tout le monde entassé comme du bétail. 
Coincée contre une gamine qui me file des coups de coude jusqu'à ce que je l'envoie chier. 
Regard bovin de l'énergumène. 
Descente du bus, failli me faire marcher dessus par une autre gamine, putain, mais qu'est-ce qu'ils ont tous dans le cul ? Je râle, ma fille me jette des yeux éperdus et suppliants et je décode ses messages muets mais éloquents :  « Maman, t'es pas sortable ! Tu me mets la honte ! » Je la comprends : je rouspète et pars en vrille dans un univers de clones totalement muets qui nous fusillent de leurs globes oculaires réprobateurs. 

Après, j'ai alpagué deux gamins qui tarabustent ma fille pour leur demander gentiment mais fermement de lui foutre la paix. La fille de sa classe a pris un air outré, arrondi sa bouche en dénégation frénétik. «Arrête ton char», j'ai eu envie de lui dire. Le gamin, lui, a souri, je ne sais pas si c'est parce qu'il se disait qu'il allait choper ma môme et lui frotter les oreilles dans la cour du collège ou quoi. J'ai accentué mon air méchant, qu'il n'ait pas trop envie de s'y frotter. 

Si vous avez envie de faire chier le monde, exercez-vous sur quelqu'un d'autre pour la Grande Compétition de Maître du Monde et Super Prédateur qui vous intéresse tant, arrêtez de nous concasser les oreilles et la tranquillité. 
Vous avez reniflé le gentil qui ne vous causera pas trop de problème, vous déversez sur lui vos frustrations et vos pauvres fonds de crâne et vous arrondissez vos lèvres lorsqu'on vous montre les dents, vous jurez vos grands dieux et invoquez les Droits de l'Homme (alors que vous vous torchez avec ordinairement, la timidité et la gentillesse étant par vous envisagées comme des tares et des failles que vous assimilez à de la faiblesse qu'il est urgent de piétiner et d'humilier).

Vous envisagez la vie comme un vaste combat et un assaut permanent, vous avancez la gueule ouverte parée de sourires dentus et carnassiers. Vous pompez l'air, vous donnez envie de vous claquer le beignet mais on ne peut pas et c'est fort dommage. 

PS : Sans oublier qu'il a encore fallu risquer notre vie pour traverser sur le passage piétons (pareil, si tu râles, l'automobiliste joue l'outragé, ose des gestes plus ou moins polis et te regarde comme si tu avais une case en moins), sans oublier le blaireau qui dès le matin te salue d'un moqueur « Bonjour, Messieurs-dames ! », parce que tu as des chaussures plates et les cheveux courts (on peut aussi dire des cheveux plats et des chaussures courtes, t'as vu ?) et qui le prend mal quand tu lui renvoies sa blague à deux sous en le saluant à ton tour d'un narquois « Bonjour, Messieurs-dames ».

Et en plus, je crois que je suis en train de me fabriquer un début de sciatik, journée de merde !!! Bon, je ne vais rien faire d'autre aujourd'hui, continuez la mission sans moi, chers contemporains, je ne voudrais pas vous gêner.


C'est tout, vous pouvez fumer !

vendredi 25 mars 2011

Vendredi, en vrac

Vendredi, en vrac, je lave les serviettes à 60°.
Vendredi, en vrac, j'investis un peu de sous pour mes salades : menthe, thym, tomates, ciboulette. 
Vendredi, en vrac, le fleuriste, bon commerçant, m'a offert une rose, ça embellit toujours la maison et la journée.
Vendredi, en vrac, je cherche du travail en mode tranquille.
Vendredi, en vrac, j'écoute Renaud.
Vendredi, en vrac, je mets de la crème solaire à ma rejetonne car le soleil s'est mis en tête de la rosir comme une crevette.

jeudi 24 mars 2011

Petite matinée tranquille

Le printemps s'installe au moins jusqu'à samedi, il fait beau, les fenêtres sont ouvertes.

Ce midi, je vais manger une quiche carottes/oignons/lardons que j'ai préparée de mes blanches mains (il suffit de faire revenir les lardons avec des carottes coupées en petits morceaux et des oignons ciselés, puis de jeter sur le goumi quelques fines tranches de fromage fondu, ça donne un super goût. Je pense que je vais ajouter un peu de cumin pour relever l'affaire). 

J'écoute le dernier album de Françoise Hardy et je profite de ces heures lentes et dont je suis totalement propriétaire.

lundi 21 mars 2011

Incitation à la beuverie

Bon, moi, normalement, après le week-end que je viens de vivre (et dont j'avais grandement besoin, parce que parfois il faut savoir lâcher les chiens), je devrais ne pas boire pendant au moins un mois, mais vous, rien ne vous oblige à suivre mes éphémères bonnes résolutions, alors voici un peu de culture et d'informations sur la bière.  


Burp !

dimanche 20 mars 2011

Pourquoi j'aime la nuit et pourquoi la nuit m'aime

Je roulais cours de la Marne et puis mon vélo a déraillé. 
Un jeune homme pas pressé parce que c'était la nuit m'a gentiment aidée à remettre la chaîne dans les crans de la roue. 
Merci à lui et désolée de ne pas t'avoir, secourable inconnu, proposé un mouchoir pour t'essuyer les mains. 
Que la nuit et la vie te soient douces !

samedi 19 mars 2011

à Télérama, ils découvrent la vraie vie et ça les indigne drôlement

J'ai lu un article fort intéressant dans Télérama (on est abonnés parce que ça reste un programme de télé moins abruti que les autres, mais parfois, faut quand même se les faire...).

Nos amis de Télérama découvrent un truc horrible : les jeunes, avant d'avoir un appart, ils galèrent des fois drôlement longtemps, des fois même des années, tellement c'est compliqué d'avoir un appartement quand on n'a pas de salaire qui tombe ric rac tous les mois et comme le côté « ric rac tous les mois » s'amenuise pour pas dire qu'il tend à disparaître... 

Dans la série, je propose aussi : Putain, en ce moment, comment c'est dur de trouver du boulot avec un salaire décent, ou bien : En France, t'as pas intérêt à dépasser les 35 ans parce que Soleil vert, c'est presque pour tout de suite maintenant ou bien Oh non, c'est trop bizarre, plus il y a de CDD, plus il y a de précarité !

Je crois que j'ai mauvais caractère, parce qu'encore une fois, je vais le dire : la situation n'a rien de nouveau. Je crois que tout le monde dans ma génération (la fameuse génération X spécialiste des mac jobs), enfin je veux parler des gens normaux qui ont eu des parcours juste de base, a connu :
1/ le chômage en sortant de l'école (par chez nous, certains ne pouvaient même pas aller en fac alors qu'ils avaient suivi une voie générale avec à la clé un bac littéraire, c'est-à-dire peau de balle sur le fameux marché de l'emploi), 
2/ les galères de logement. 

Ce qui une fois de plus me troue le cul, c'est comment tout le monde a l'air de découvrir cette réalité-là, comme si d'un seul coup ça devenait crucial de la regarder en face. Comme si d'un seul coup, c'était un problème collectif et sociologik aux données macroéconomiks et pas les petites emmerdes sans intérêt d'une petite bande de minables trous du cul.

Je vais reprendre mon sempiternel couplet : peut-être que le sort des bac + 5 issus des classes moyennes intéresse plus les lecteurs de Télérama, eux-mêmes issus de ces classes ? 

Alors que nous, on était des grosses feignasses mal formées et mal orientées (et tout ça à cause de notre incurie native et désespérante pour tout lecteur de Télérama épris des Lumières et ouvert sur le monde souffrant qui l'entoure), voilà-t-il pas que leurs enfants bien éduqués et parfaitement dans leurs droits d'obtenir la belle situation qui leur échoit se retrouvent dans une belle merde, la belle merde que leurs parents leur ont préparée et que nous avons boulottée en silence pendant des années. Mais où va-t-on, je vous le demande ?

jeudi 17 mars 2011

temps de merde + temps de merde = faut hiberner !

En ville, les bourgeons font rien qu'à tendre leurs petits bras musclés aux passants et certains arbres ont déjà explosé sur les placettes bordelaises. 

Snoopy content printemps, etc.

Hier soir, concert de choeur d'enfants : ça a un côté sublime qui met un peu mal à l'aise, surtout dans une église. Surtout, surtout, on sait que ces voix ne vont pas tarder à muer et ces enfants bientôt tellement grandir qu'on ne les reconnaîtra plus sous leurs boutons d'acné et leurs airs bravaches...

lundi 14 mars 2011

books, books, books, books, books, books, books, books, books, books !

Je me suis remise à lire, et ça fait du bien de récupérer ses facultés intactes. Parce que c'est pas pour dire, mais le travail à haute dose, ça lamine les neurones, et les gens qui le prônent devraient un peu s'appliquer l'ordonnance à eux-mêmes.

Derniers livres fort intéressants (un peu marre de dire des méchancetés, par moments) : Quelque chose à te dire, Hanif Kureishi + De la beauté, Zadie Smith.

Ni l'un ni l'autre ne sont des nouveautés, mais je n'ai jamais dit non plus que je tenais un blog de critik littéraire. 

La dernière fois qu'on est allés dans notre favorite librairie, on était bien contents de ressortir de là avec des livres appétissants, un peu comme des gamins qui auraient explosé la vitrine du marchand de bonbecs (on a juste un peu fait chauffer la CB et ce n'est pas trop le moment, mais on ne peut pas non plus vivre que dans la crainte que le banquier nous tombe dessus avec sa vision du monde).

Une pensée pour les Japonais, ça ne va pas leur changer la vie, mais bon...

jeudi 10 mars 2011

Je n'achète pas d'écrivains français, mais on me prête leurs livres

Ma belle-mère, qui a une bibliothèque bien garnie, achète régulièrement des livres et lorsque je vais chez elle, je fouine toujours dans l'étagère des nouveautés (elle est bibliothécaire et elle range bien ses livres, faut reconnaître, c'est pratik).

La dernière fois qu'on est allés la voir, elle m'a donc prêté Les années cannibales, de Christine Arnothy. 

Je ne sais pas si vous voyez qui c'est, elle a écrit J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir, qui fut un gros succès apparemment. Je dois reconnaître que je n'ai pas lu cette œuvre majeure de cet écrivain génial. 

Mais je me suis tapé Les années cannibales, sobrement sous-titrées autobiographie. Je suis curieuse et comme je ne lis pas la presse people, il faut que je satisfasse mon petit côté voyeur. 

Ordonc, on apprend que la dame est ravissante, belle, cultivée, génialissime (c'est elle qui écrit le bouquin, elle se connaît mieux que personne), issue d'une magnifique famille de nobles qui ont connu bien des vicissitudes (intéressantes et dignes d'être racontées, cela va sans dire), qu'elle a produit une œuvre majeure et pléthorik. 

Elle a aussi, n'en jetez plus la cour est pleine, une histoire familiale assez compliquée (elle aussi digne d'être racontée, je ne vais pas non plus tout vous répéter), et surtout elle affronte tout cela avec son incroyable intelligence/fermeté/génie/beauté/noblesse.

Bref, si vous avez envie de bien vous fendre la pipe en compagnie d'un génie des alpages de gauche, foncez ! 

Vous apprendrez tout de même au passage deux trois choses intéressantes sur la vie de la presse parisienne, l'intéressante et géniale Christine ayant vécu avec le patron du Parisien libéré

Ah oui, juste pour la déconne, le livre contient entre autres fautes typo vénielles mais relativement surprenantes pour un livre portant la griffe Fayard, une énorme faute, celui qui la trouve gagne un Carambar !

Étonnements dilettantes et amateurs

One - « The'll give U medals, if U specialize », chante Marilyn et tout le monde pense qu'elle est idiote.

Mais, mais, mais remarquez à quel point le diplôme et le brevet d'exercer satisfont on ne sait quel instinct bien français, qui aime, ne nous le cachons pas, à estampiller, cloisonner et distribuer des médailles lors de divers comices (ça faisait marrer Flaubert, passons...).

Et donc, si tu veux faire toubib, fais l'école (là, je dirais, je préfère que tu la fasses, y'a tout de même des tas de trucs que j'aimerais mieux que tu n'ignores pas, comme ne pas confondre le péroné et le tibia, le foie et les poumons, tout de même). 

Mais pour ce qui est de l'artisserie, faut m'expliquer pourquoi les artisses qui vont dans les zécoles et ont des 'plômes sont plus des zartisses que les autres.

Ils ont une fonction, ils la remplissent, c'est plutôt chouette, mais je ne vois pas pourquoi ils regardent de haut les amateurs et dilettantes. J'ai quelques artisses dans mes connaissances et ma famille et cette circonstance m'a toujours frappée. 

Faire l'artisse, ce ne serait pas produire ou faire, mais être reconnu comme tel par une institution, ses pairs ou un diplôme ?

Les artisses officiels ont un certain mépris pour ceux qui se mêlent d'artisserie sans demander de 'plôme (mettons qu'ils partent du principe que l'art est un truc qui appartient à tout le monde et que si tu te sens artisse, ben t'as qu'à faire des écrivures, des dessins, des photos).

Le Net et les blogs permettent aux artisses non officiels de faire leur petite sauce (ce qui les meut, je dirais si je n'avais pas peur des grands mots qui tachent un peu, c'est donc de faire, et d'être vu ou lu, car un artisse qui artisse tout seul dans son coin, c'est juste de la sale manie, on est bien d'accord). 

Mais même dans cet espace qui se réclame libre et ouvert, on sent bien qu'il y a les ceusses qui se reconnaissent entre eux et eux-mêmes comme ayant le droit à la parole (par la sainte grâce d'un diplôme, certificat, brevet, etc.) et les autres. 

Two - Je suis un peu gonflée en ce moment par certains écrivains qui nous abreuvent de leur vie leurs malheurs et qui fonctionnent un peu en vase hermétique.  

Extasions-nous pour la millième fois sur les si intéressantes circonvolutions de fond de crâne de Machin ou Machine, ça fait juste un demi-siècle qu'ils tiennent le crachoir et nous bassinent et rebassinent. 

Ces derniers temps, on donne dans le frère ou la sœur morts. Ils vous expliqueront avec tout leur savoir-faire et leur infinie légitimité ce qu'il convient de ressentir, vous prouveront une fois encore qu'ils sont dotés d'une sensibilité hors du commun et vous les retrouverez sur toutes les ondes qui prétendent vous cultiver l'intérieur de la cervelle.

Si une postière ou une ouvrière s'avise de prendre la plume pour raconter qu'elle aussi a perdu une sœur et elle aussi a ressenti... (ici, tu peux compléter, amie postière ou ouvrière, je me garderai bien de parler en ton nom, démerde-toi !), les mêmes brameront qu'il ne s'agit pas de littérature, que les émois d'une provinciale (montés à la capitale pour en décrocher les lauriers, ils ne snoberont jamais assez ceux qui leur ressemblent pour leur faire accroire qu'ils sont au-dessus du lot, par essence, par artisserie innée) aux extractions douteuses n'intéressent personne.

Je les chope parfois dans leurs péroraisons sur les ondes et en général, je coupe le son. Et, pour garder mon sérieux, tout en riant du monde qui m'entoure et que je suis parfois comme tout le monde bien obligée de subir, j'achète tout, absolument tout, sauf des livres écrits par des écrivains français.

The logical Song - Supertramp with composer Roger Hodgson.

mercredi 9 mars 2011

À monsieur Lagerfeld

Vous prêtez votre image et votre humour ravageur à une publicité pour une voiture (décalé, décalé, j'adore !) qui cause très mal français. 
Votre hauteur modistik s'encombre certes peu de ces détails mais comme par ailleurs vous vous la pétez  plutôt grave dans le genre dandy, je tenais tout de même à vous le signaler. 
On ne dit pas, même dans des endroits que vous ne fréquenteriez pas, même armé d'un gros appareil photo qui ressemble à une mitraillette, on ne dit pas donc : « rarement des équipements n'auront eu autant d'allure » mais « rarement des équipements auront eu autant d'allure ».

La vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais il y en a qui charrient

Lors d'un stage, on a évalué mon « tact » et ma « discrétion ». Je dois dire que je n'ai pas eu une très bonne note. Sans doute parce que j'avais dit ma façon de penser. 
Lors de ce même stage, on m'a parlé comme si j'avais 3 ans et pas beaucoup de facultés intellectuelles. Et des débiles moyens épargnés par la vie et n'ayant rien fait d'autre qu'encaisser les dividendes des Trente Glorieuses se sont permis de nous expliquer la vie. Marrant.

Il y a aussi les gens à qui vous envoyez des CV et qui se permettent de ne pas vous répondre (la politesse devient une perte de temps, la prochaine fois, ils bousculeront une vieille dame et enculeront un cycliste, aussi bien).

Et enfin, à vélo par les temps qui courent, faut drôlement de courage. Certains automobilistes n'hésitent pas à faire rugir leur gros moteur sur ton pneu arrière et s'inquiètent si par malheur tu manifestes ton mécontentement de façon un peu virulente. Car l'automobiliste peut et doit faire rugir son gros moteur, tandis que le cycliste (d'autant plus lorsqu'il s'agit d'une cycliste) doit fermer sa gueule et péter de trouille en silence.

Malheur aux récalcitrants et aux agacés, gloire aux péteux et aux imbéciles (relire  La Conjuration des imbéciles, tiens, au passage) !

Pour madame Lagarde

Comme vous étiez compassionnelle et intéressante aujourd'hui à la télé, et concernée et drôlement concentrée aussi.

Levez le pied et éteignez la clim, que vous préconisiez aux gros mongoliens qui vous servent d'administrés, afin que nous réduisions nos factures d'essence.

De même, avec compassion, concentration et tout ce qu'il faut, je me penche vers votre long long cou et vous conseille de calculer combien coûtent un avion présidentiel et certaines retraites, certains abus, certaines prévarications, certains avantages et certains privilèges à notre République à tous, et je vous recommande vivement de vous trouver d'autres croisades, moins ridicules et moins bouffonnes.

Cordialement !

Faut de la patience...

Je consulte dans ma boîte mail les annonces qui correspondent à mes critères de recherche.

Je clique sur le lien dans l'une d'entre elles, et je me retrouve connectée au site de Pôle Emploi pour postuler. Après avoir rentré mes codes, j'accède à l'annonce et remplis ou coche les cases comme demandé. J'ai oublié de cocher une case et la machine ne me le fait pas dire. 

Au moment où je vais valider mon formulaire de postulation, la machine me déconnecte brutalement. Elle s'excuse mais c'est comme ça. 

Plus qu'à tout refaire.

J'imprime l'annonce pour recommencer plus tard directement à partir du site. Je réitère toute la manœuvre depuis le début, clique, coche, remplis mais la machine est encore plus enrhumée que tout à l'heure et me déconnecte encore plus tôt. 

Je pue le pâté ou bien ?

Je vais attendre un peu. Peut-être que la machine aura moins d'accrocs plus tard dans la journée ?

16 heures : Toujours fâchée, la machine...  Bon, j'irai demain à l'agence avec mon petit numéro d'annonce voir si c'est possible de machiner sans la machine... ou je retenterai peut-être le 3949, selon mon humeur...