mardi 12 juillet 2011

Tout va bien, dormez, braves gens !

Un message qui m'a vraiment retourné les tripes.

Dans le monde de l'édition et de la presse, la précarisation est une vraie gangrène, ce n'est une bonne nouvelle pour personne. 

Vous me direz, ils n'avaient qu'à devenir avocats ou grands serviteurs de l’État, s'ils voulaient gagner de l'argent, ça leur apprendra, à ces rêveurs, à ces loseurs !